Emeline Le Naour | la Gazette | Publié le 17/03/2015
Dans la cité de l’Essonne où a grandi l’auteur de la tuerie de l’Hyper Cacher, la municipalité doit faire face à des polémiques incessantes. Le maire (PCF) Philippe Rio prend la défense de ses administrés en proie à une précarité endémique.
Au pied des barres d’immeubles de la copropriété Grigny 2, des petites parcelles de jardin cultivable s’étendent jusqu’aux berges du lac. Un cadre presque bucolique. Pourtant ici, le revenu fiscal moyen ne dépasse pas 8 800 euros par an. A quelques centaines de mètre de là, à la cité de la Grande Borne, il culmine à 10 400 euros. La moitié des habitants de la commune de l’Essonne, vit en dessous du seuil de pauvreté.
Dans la cité de l’Essonne où a grandi l’auteur de la tuerie de l’Hyper Cacher, la municipalité doit faire face à des polémiques incessantes. Le maire (PCF) Philippe Rio prend la défense de ses administrés en proie à une précarité endémique.
Au pied des barres d’immeubles de la copropriété Grigny 2, des petites parcelles de jardin cultivable s’étendent jusqu’aux berges du lac. Un cadre presque bucolique. Pourtant ici, le revenu fiscal moyen ne dépasse pas 8 800 euros par an. A quelques centaines de mètre de là, à la cité de la Grande Borne, il culmine à 10 400 euros. La moitié des habitants de la commune de l’Essonne, vit en dessous du seuil de pauvreté.